jusqu'ici, l'histoire est très bénéfique pour notre Akhal-Téké, encore que la vie
d'un cheval de rezzou ne soit pas de tout repos ni gage de longévité…

Là où les choses se gâtent, c'est curieusement, quand la paix s'installe dans le pays turkmène : les Russes, adeptes inconditionnels du machinisme, vont rayer d'un grand trait de plume tous ces chevaux mangeurs d'herbe au piètre rendement quand on les compare à leur confrères à vapeur.

Et puis, ces remuants Turkmènes seront ainsi cloués au sol et à leurs champs de coton…. De fait, dans les années 1950, la race a bien failli disparaître totalement, d'autant plus que la nature elle même y apporte sa contribution avec le tremblement de terre d'Ashgabad de 1948.