Le second, disparu en mai 1996, est sans doute " le chercheur-sélectionneur
du cheval Akhal-Téké le plus important du XXe siècle
".

C'est lui qui a contribué à restituer sa pureté à la race en éliminant de la reproduction les chevaux ayant reçu du " sang anglais ".

C'est en 1950 viennent les sombres heures de l'Akhal-Téké : fermeture du haras d'Ashgabad, déjà décimé par le tremblement de terre et liquidation des élevages. Des milliers de magnifiques chevaux sont alors passés au couteau.


Et puis, en 1957, Vladimir P CHAMBORANT se voit confier une mission : acheter
des chevaux Akhal-Téké au Turkménistan et les transférer à Tersk (sud de la Russie), pour y produire un beau cheval de sport, grand et rapide en course.