Au début des années 1970, cet objectif est atteint mais le haras de Tersk est
alors orienté vers la production du cheval arabe ; exit l'Akhal-Téké
Vladimir P CHAMBORANT accompagne ses chevaux et continue son excellent travail
de sélection et d'amélioration de la race en specimens purs au Daghestan cette fois. Sa personnalité et son amour de la race ont fait école et un cercle de disciples se constitue petit à petit.
Dès le début des années 1980, à partir de chevaux sortis du haras du Daghestan, de nouveaux haras spécialisés pour l'élevage des Akhal-Téké sont créés en Russie.
(extrait d'un article d'Alexandre KLIMUK, zootechnicien équin
au haras de Stavropol, traduit du russe
par Natacha MOROZ-BUES, article dont l'intégralité se trouve dans le bulletin N° 1
de la revue de l'association AKHAL-TEKE France).
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